Quand je me suis réveillée ce matin, j'ai pensé à ma cousine, Lena. Elle avait un magasin en Espagne qu'elle aimait tellement, c'était comme son petit bébé. Elle a mis tout son coeur dedans, alors quand je suis arrivé à Mystic Falls, je me suis sentit obliger dans avoir un moi aussi, pour la sentir près de moi. Je me suis donc réveillé se matin avec un sourire, mais aussi un chagrin. Depuis ces vacances en Italie, je suis toute seule. Je ne fais que de repenser à ce soir là, j'en fait des cauchemar même. Je me réveille en pleine nuit avec le souvenir de son regard en tête. Son visage si beau, mais si cruelle. Son nom est Klaus, je ne sais rien de lui, mais je sais qu'il me veut. C'est pourquoi j'ai fuit ce soir là, car je sentais que quelque chose allait se passer...

FLASHBACK :
« Autumn, Lena, nous avons de la visite. Il y a deux jeunes hommes que j'ai croisé en fessant les courses qui ne savaient pas ou aller ce soir alors je les ai invité à passer la soirée avec nous. » dit Maria, notre amie italienne. C'était une femme remarquable, attentionné et très protectrice. La première fois qu'elle m'a vu, elle avait pensé à sa jeune soeur qu'elle n'avait pas vu depuis très longtemps. Il devait avoir oublier que ce soir c'était la pleine lune, alors je lui rappela. Maria et son mari étaient des loups-garous tout comme moi, c'est pourquoi nous nous étions bien entendu dès notre arrivé. « Maria, souviens toi que ce soir, c'est la pleine lune. Tu pourrais mettre en danger ces deux jeunes hommes. D'ailleurs ils viennent à quels heures car je n'ai pas fini de préparer la déco pour l'anniversaire de ton mari. » Oui nous allions fêter l'anniversaire de Léopold ce soir et je devait m'activer car la fête commençait à 16 heures et il ne me restait plus qu'une demi heure. Des bruits de pas arriva dans la salle à côté de Maria, en me retournant je vis les deux jeunes hommes. Je leur souris et descendit de mon tabouret pour les saluer. On pouvait dire qu'ils étaient beau comme des Dieu, mais je me contentais de les regarder avec un sourire charmant. « Bonsoirs messieurs, mon nom est Autumn. » En leurs serrant la main, j'eu un premier frisson. « Enchanté Autumn, moi c'est Klaus et voici Stefan. »

L’après-midi se passa à merveille. Nos invités m'avaient aidé à décorer la maison, Maria était partie chercher son mari au travaille. Lena s'occupait de la nourriture et de la boisson. La fête était assez réussi car Léopold avait été surpris en rentrent à la maison. Puis vers 18 heures, les deux jeunes hommes resta avec moi pendant que mes amis fasse le ménage. On parlait en peut de tout, mais je commençais à me méfier d'eux. Ils avaient peut-être l'air inoffensif, beaux et amusant, mais je n'arrivais pas à comprendre leurs regards. Je sentais plusieurs choses à la fois, de l'amusement, de la colère et de la soif. A ce moment là j'ai pensé que ces hommes pourraient être des vampires alors je me suis excusée et je suis partie voir ma cousine. Je lui expliquais mes doutes et elle me dit de vérifier en mettent de la veine de venus dans leurs boisson. Je fis ce qu'elle me dit et je suis revenue avec une bouteille d'alcool. Il commençait à se faire tard et j'allais bientôt me transformer. Puis mes amis arrivèrent vers moi et Lena me fis un signe, je suis donc sortit de la maison avec Lena et elle me dit de courir le plus loin possible. J'entendis des cries à l'intérieur. Depuis je les fuis jour et nuit.

FIN FLASHBACK

Cette après midi il y avait de monde au magasin. Mes clients étaient ravis de trouver les vêtements qu'ils voulaient au coin de la rue. Une cliente me demanda un renseignement. Elle voulait savoir si la robe pouvait lui aller lors d'une soirée. Après lui avoir répondu, je me retournais vers l'étagère de jean quand je le vis dans le miroir. Je me suis retournée à tout vitesse pour vérifier, mais rien. Mon coeur battait à cent à l'heure. Je pris une grande inspiration et je me suis remise au travail. Une minute après, une main se posa sur mon épaule. « Bonjours Autumn » C'était bien lui... Klaus

Une main se posa sur mon épaule et le souffle des paroles de la personne me caressa le cou « Bonjours Autumn » C'était bien lui... Klaus, celui que j'avais fuit pendant tous ces mois. Ils ont réussis à me retrouver. Comment ont-ils fait ? et pourquoi moi ? Je n'ai rien fait pour être la proie des ces démoniaques et ... séduisants prédateurs. Je me retournais vers lui quand il avança encore plus et me posa son index sur ma joue. Sa façon de fixe les gens avec passion. Quoi qu'on ne dirait pas de la passion, mais de la colère, de la joie et de la faim. Toutes ces émotions étaient mélangées en un seul regard. « Tu m'as fais courir tu sais ? Ton jolie visage m'a manquer ! » Il rigola en continuant de me fixer. Il était si proche que je sentais le sang de sa précédente victime dans sa gorge. Je ne savais pas comment lui répondre, en montrant ma peur ou en lui faisant face ? En même temps j'étais dans ma boutique et il y avait du monde, je ne veux pas qu'il arrive quelque chose à ces civils innocents. Je pris donc mon courage à deux mains pour le bien de la ville. Je posais mes mains sur sa poitrine et le poussa sensuellement en même temps de lui dire cette phrase gentiment. « Klaus ! Désolé de vous avoir donner du fils à retorde, mais comme vous pouvez le voir je suis en train de travailler et une cliente m'appelle donc si vous pouviez vous poussez un tout petit, ça me ferais plaisir. » Il se tourna légèrement pour me laisser le pasage. Avec ma main droit, je laissais glisser mon doigt le long de sa poitrine, puis je partis vers cette cliente. Quand je lui ai tourné le dos, mon visage changea, il passa du visage sur de lui et courageux, à celui d'une petite fille qui à une peur bleu de ce qui va se passer.
Après deux trois minutes de renseignement, je retournais à ma petite caisse, un cintre à la main. Klaus me fit sursauter et le cintre glissa entre mes doigts. Aussitôt Klaus l'attrapa en vol comme rien ne s'était passé. Ma respiration me trahissait, j'avais peur et il le savait, c'est pour ça qu'il avait un sourire jusqu'aux oreilles. Je croisais mes bras et le regardais droits dans les yeux. « Bon qu'est-ce que vous voulez à la fin... Je n'avais pas fais attention au ton de ma voix, c'est en voyant le visage de mes clients que j'ai compris que j'étais en train de crier. ...Tuez ma cousine et mes amis ne vous ont pas suffis, c'est ça ? » dis-je en chuchotent cette fois-ci. Klaus rigola doucement et me fis signe de le suivre vers un endroit plus tranquille.